Saint-Denis : après le traitement, l’hôpital soigne les cancéreux autrement
Pour venir à l’hôpital, en ce matin de printemps, Mokrane a soigné son allure : chapeau mou, foulard élégamment noué autour du cou. Véronique, l’infirmière, l’accueille dans un petit bureau. « Je me mets à votre entière disposition », lui glisse, charmeur, le retraité dionysien. → Consulter la page du Parisien.